Critiques

L’Incoronazione di Poppea – Les Épopées – Festival international d’opéra baroque de Beaune / Opéra de Versailles, 2023

« Jennifer Courcier prête sa voix gracile mais solide [au rôle d’amour], illustrant tout à la fois la juvénilité du personnage et sa capacité sans faille à conduire l’intrigue. »
Classique News, Jean-François Lattarico


« Jennifer Courcier, rayonnante dans le rôle d’Amour. » Première Loge, Marc Dumont

Le Monde selon Mozart – Atelier Lyrique de Tourcoing, Janvier 2023

« Jennifer Courcier fait valoir son agilité et ses aigus, notamment dans l’air « Nel grave momento » chanté par Aspasie de Mitridate, et dans le superbe « Da schlägt die Abschiedsstunde » du Directeur de théâtre » Concert Classic, Laurent Bury


 » Jennifer Courcier, soprano lyrique léger, est une sémillante et irrésistible Beauté totalement crédible. » Res Musica, Benedict Hévry

Werther, Massenet – Opéra de Monte Carlo, Février 2022

« Sophie eut en Jennifer Courcier une interprète adorable, aussi fraîche et vive dans sa voix que dans sa personne. » Forum Opera, André Peyrègne


« Charlotte’s sister Sophie was sung by soprano Jennifer Courcier who magically transformed herself into an adolescent child. » Opera Today, Michael Milenski


« Jennifer Courcier campe la plus plausible des Sophie, avec sa fraîcheur enjouée et ses aigus cristallins. » Opéra Online, Emmanuel Andrieu


Guillaume Tell, Rossini – Opéra de Marseille, Octobre 2021

« Jennifer Courcier est un Jemmy proche de l’idéal, à l’aigu puissant. » Opéra Magazine, Richard Martet


« Jennifer Courcier séduit dans le rôle travesti de Jemmy, son timbre lumineux et ambré ravissant l’oreille dans les ensembles comme dans ses interventions solistes. » Concerto Net, Philippe Manoli


« La voix claire et percutante de la jeune soprano Jennifer Courcier anime le rôle de Jemmy avec pertinence. Des aigus assurés, une allure juvénile et une réelle aisance scénique font que l’on remarque et apprécie sa prestation. » GB Opera, Jocelyne de Nicola


« [Jennifer Courcier] brille par ses aigus au timbre fruité et au vif vibrato, qui font le sel de sa partition, et par un intense et fougueux investissement scénique. » Olyrix, Damien Dutilleul


Thaïs, Massenet – Opéra de Monte-Carlo, Janvier 2021

« Dans le rôle de la Charmeuse justement, Jennifer Courcier déploie devives et légères vocalises. » Olyrix, José Pons


« Completa il cast Jennifer Courcier, dalla voce fresca negli arabeschi della Charmeuse. » Connessi all’Opera, Alessandro Mormile


L’enfant et les sortilèges, Ravel – Opéra de Limoges, janvier 2020

« En incarnation du Feu, du Rossignol et de la Princesse, Jennifer Courcier  s’illustre également, avec sa présence scénique et une voix au timbre soyeux, qui plus est agréablement projetée (le défi de l’air du Feu, avec ses vocalises périlleuses, étant relevé). » Olyrix, Pierre Géraudie


« Jennifer Courcier brûle incontestablement les méchants et sait aussitôt après trouver toute la douceur de la Princesse «  Forum Opera, Laurent Bury


Barbe-Bleue, Offenbach – Opéra de Marseille, décembre 2019

« La soprano Jennifer Courcier, aussi blonde et mince que jeune et jolie. Le personnage, ingénu, aux jeux de jambes tourbillonnants, réjouit l’œil et caresse l’oreille, d’un filet d’eau de source, pure et naturellement pétillante. » Olyrix, Florence Lethurgez


« Voix fraîche, juste, au soprano délicat. Elle est une Fleurette naïve et une Princesse Hermia volontaire donnant relief et éclat à son rôle. » GBOpera Magazine


Guillaume Tell, Rossini – Opéra de Lyon, octobre 2019

« L’émission fraîche, claire et sonore, un joli colorature aux accents émouvants, intelligible, le jeu toujours juste vaudront de chaleureuses ovations à Jennifer Courcier. » Forum Opéra, Yvan Beuvard


« La jeune Jennifer Courcier campe le rôle de Jemmy avec une énergie et une carrure réjouissantes. La projection est d’une belle ampleur, avec des irisations dans l’aigu qui laissent penser que le fils de Tell prélude à une belle carrière. » Wanderer, David Verdier


« Le timbre juvénile de Jennifer Courcier, double vocal du fils de Guillaume Tell, fait merveille par une grâce certaine conjuguée à des accents colorature parfaitement maîtrisés. » Classique News, Jean-François Lattarico


Barbe-Bleue, Offenbach – Opéra de Lyon, juin 2019

« Cette qualité d’acteur est partagée par tous les chanteurs […] : en Fleurette, Jennifer Courcier, dotée d’un agréable soprano et bonne actrice. » Forum Opéra, Fabrice Malkani


« La Fleurette au timbre fruité de Jennifer Courcier lui donne habilement la réplique. » Classique News, Jean-François Lattarico


Le nozze di Figaro, Mozart – Opéra de Marseille, mars 2019

« En ce qui concerne les seconds rôles, il y a du grand luxe, comme l’adorable Barbarina de Jennifer Courcier, à coup sûr une jeune voix à suivre. » Res Musica, Catherine Scholler


« La Babarina de Jennifer Courcier dispense un jeu gracieux, une voix légère et badine, qui savent laisser place, le temps du magnifique L’ho perduta, à une expressivité tout en finesse. » Olyrix, Paul Canessa


« Jennifer Courcier chante son air de l’épingle avec tant de délicatesse qu’on en regrette la trop grande brièveté. » La Marseillaise, Patrick Di Maria


Nabucco, Verdi – Opéra de Lille, mai 2018

« Jennifer Courcier (Princesse dans le Nain in loco), délivre une prestation scénique attirant le regard du spectateur. » Olyrix, Damien Dutilleul


« Les qualités de la distribution se remarquent dès les petits rôles : Jennifer Courcier (Anna) ou François Rougier (Abdallo) imposent leur personnage dès leur première intervention. » Forum Opera, Yannick Boussaert


Der Zwerg (Le nain), Zemlinsky – Opéra de Rennes, mars 2018

« Sa légèreté, son timbre clair, son phrasé prometteur, ses qualités d’actrice, son port de tête digne d’une danseuse, lui permettent d’interpréter avec justesse un personnage hautain à l’indifférence inhumaine lorsqu’elle déplore son jouet ‘tout juste offert et déjà cassé’. » Olyrix, Véronique Boudier


« Jouet ‘tout juste offert et déjà cassé’, il ne peut résister au charme de fée de Jennifer Courcier, gracieuse et légère, dont le timbre fruité appelle Richard Strauss. » Forum Opera, Tania Bracq


Werther, Massenet – Opéra National du Rhin, février 2018

« On apprécie surtout la Sophie juvénile de Jennifer Courcier, voix lumineuse, diction idéale, d’une belle prestance scénique. » Opéra Magazine, Jean-Luc Macia


« Rarement aura-t-on vu Sophie aussi juvénile que Jennifer Courcier. La jeune soprano française se fond parmi les autres enfants et pourrait presque avoir l’âge du rôle, soit 15 ans : la voix est à l’unisson, charmante, lumineuse, sans aucune astringence. » Forum Opera, Antoine Brunetto


« Jennifer Courcier campe avec succès une Sophie moins effacée et légère que d’ordinaire. »  Res Musica, Michel Thomé


 Hansel et Gretel, Humperdinck – Opéra National de Lorraine, décembre 2017

« La soprano Jennifer Courcier, marchand de sable au costume scintillant et argenté, à la voix cristalline et légère, en parfaite adéquation avec son personnage. » Olyrix, Céline Wadoux


« Dans son double rôle, Jennifer Courcier ne manque ni de piquant ni de ressources comiques. » Forum Opéra, Laurent Bury


Der Zwerg (Le nain), Zemlinsky – Opéra de Lille, novembre 2017

« La soprano Jennifer Courcier est une Infante candide, guillerette et gracile […], qui confère une délicatesse de danseuse à chaque geste. […] Elle lance sa voix pure et tranchante, le menton levé. […] Elle dispose d’un phrasé straussien qui pourrait lui ouvrir avec succès ce répertoire une fois sa voix épaissie. » Olyrix, Damien Dutilleul


« l’Infante, dont la cruauté est sublimée par Jennifer Courcier, à l’étincelante chevelure blanche. » La Voix du Nord, Benjamin Duthoit


« l’Infante de Jennifer Courcier (silhouette d’elfe nordique, caprices de princesse impeccablement mis dans son chant aussi juvénile que cruel) a des légèretés de Zerbinette. » L’Avant-Scène Opéra, Chantal Cazaux


Pelléas et Mélisande, Debussy – Théâtre des Champs-Elysées (Paris), mai 2017

« Le bel Yniold de Jennifer Courcier, idéal vocalement et d’une touchante innocence. » Opéra-Online, Laurent Vilarem


« L’Yniold espiègle de Jennifer Courcier convainc. » Opéra Magazine, José Pons


« Jennifer Courcier est délicieuse, scéniquement comme vocalement. » L’atelier du Chanteur, Alain Zürcher


Lakmé, Delibes – Opéra de Tours, janvier 2017

« Jennifer Courcier chante Ellen, la fiancée de Gérald, avec son air mutin, sa voix charmante et son phrasé raffiné. » Olyrix, Damien Dutilleul


Orphée aux enfers, Offenbach – Opéra de Nancy / Montpellier / Nantes, 2015-2016

« Belle composition de Jennifer Courcier, Cupidon remarquable de fraîcheur et d’élan. » Forum Opéra, Maurice Salles


 

« On signalera en particulier l’abattage scénique et vocal de Jennifer Courcier (Cupidon). » Le Babillard, Loic Chahine


Le médecin malgré lui, Gounot – Opéra de Saint-Etienne – Déc 2015

« Adorable, […] la Lucinde finement caractérisée de Jennifer Courcier. » Opéra Magazine, François Lesueur


« […] La Lucinde aussi bien trempée que pétulante de Jennifer Courcier […] » ConcertoNet.com, Gilles Charlassier


La flûte enchantée, Mozart – La Fabrique Opéra Marseille, avril 2015

« Une Papagena de rêve. » arts-spectacles.com, Pascale Marchiani


« Le couple terre à terre ou plume à plume de Papageno/ Papagena, révèle le sonore baryton coloré d’Alexandre Artenenko et le joli soprano souriant de Jennifer Courcier, lui attendrissant, elle, coquette et coquine. » Benito Pelegrin